Ce sujet est souvent laissé après les urgences et la complexité de certains dossiers peut demander beaucoup de temps pour aboutir.
Votre banque dans cette situation est juge et partie. En clair, qui peut vous assurer que votre financement (montant, maturité, montant des échéances, garanties demandées) est adapté à vos besoins et compétitif par rapport au marché ? La banque répond-elle à toutes les demandes de financement ?
Qui renseigne les dossiers de subventions ?
Vous aurez compris, une fois vos besoins définis, que la complexité des modes de financement est souvent difficile à gérer seul (dossiers à gérer, nombre d’interlocuteurs, temps dédié).
Le conseil par son indépendance doit vérifier votre demande sans aucun biais et vous accompagner dans le montage des dossiers.
Si pour vous le vocabulaire financier c’est du chinois, pas de panique !
Que ce soit votre expert-comptable, votre comptable ou tout technicien du chiffre, sa mission sera de faire le tri entre vos besoins de financement court et long terme puis de comprendre la nature des projets.
Selon les besoins, des types de financements sont prévus. A ce stade, il faudra définir les montants en jeu puis votre plan de financement permettra de faire le lien entre vos financements et vos remboursements.
Après, la partie administrative/juridique prendra le relais. Si vous n’êtes pas familier de ce genre de contrats, je vous conseille vivement d’être assisté par votre avocat/expert-comptable car le jargon technique n’est pas forcément connu de tous. En particulier, en dehors des formules de coût, les garanties demandées sont le point à vérifier en priorité.
Votre suivi de trésorerie au quotidien vous donnera les éléments d’informations indispensables pour gérer votre capacité de remboursement et être en mesure de répondre à toute demande de suivi.
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