Le cédant peut intervenir auprès de la banque du repreneur et faire valoir le sérieux du projet. Il peut aussi accepter de décaler de quelques semaines la vente s’il sent que le preneur est motivé et qu’il va frapper ç d’autres portes pour décrocher des financements supplémentaires. En aucun cas, en revanche, il ne faut accepter que le repreneur travaille dans la société si le contrat de cession (protocole) n’est pas signé.
C’est tout bête, mais le cédant peut aider le repreneur en … baissant le prix de vente, explique. Ce cas de figure est rare, mais cela arrive de temps en temps, surtout si le cédant connaît bien l’acheteur et qu’il a envie que ce soit lui qui reprenne. Certains cédants intelligents ont compris qu’il vaut mieux accepter de vendre moins cher que pas du tout.
On peut attendre un peu, mais quand l’exclusivité » arrive à son terme, il faut absolument se réorienter vers un nouveau repreneur. Il est donc important de rester en contact avec d’anciens candidats qui ont été écartés mais qui peuvent revenir dans la course.
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