Un expert spécialisé

Au-delà de 500 000€ de chiffre d’affaires, il est impératif de s’adjoindre les services d’un expert dédié, qui intervient sur l’ensemble du processus. Il peut s’agir d’un cabinet en fusion-acquisition ou d’un conseil en gestion de patrimoine indépendant. Ce chef d’orchestre s’occupera des négociations et jouera le rôle d’intermédiaires avec vos avocats et expert-comptables et ceux du repreneur.

Un avocat spécialisé

Pour toute la partie juridique et contractuelle, il convient de se faire accompagner par un avocat, mais pas n’importe lequel. Il est essentiel de confier la gestion de l’intégralité de la cession à un avocat suffisamment expérimenté, et non à une cohorte d’avocats en tous genres spécialisés en réduction du cout fiscal, en droit à la retraite… L’avocat choisi agira comme un véritable « chef d’orchestre » capable d’intégrer l’ensemble des problématiques à gérer au travers d’un protocole global de cession d’entreprise prévoyant la totalité des modalités de l’opération. Une trop grande multiplicité d’intervenants fait perdre le contact avec la réalité de l’opération de cession. Il ne s’agit pas de rédiger un acte juridique isolé mais de réaliser une opération globale. Or, l’expérience démontre que la rédaction de ce type d’acte ne peut être prise en charge que par un nombre très limité d’intervenants, sous peine de risquer une véritable « dilution » intellectuelle et don juridique de l’opération.

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