De multiples occasions de consulter avocats et notaires
L’étape la plus évidente est d’abord celle du choix de la forme sociale, avant même la rédaction des statuts. D’autres points sont assez complexes pour la plupart des créateurs. Par exemple, connaître la convention collective dont vous dépendez est très important si vous embauchez. Or, souvent, les contrats de travail établis par le créateur ne correspondent pas à la convention.
D’ailleurs, faites attention en rédigeant les statuts, si l’objet social de l’entreprise est trop large ou ne correspond pas à l’activité réelle, il peut être délicat de déterminer ensuite la convention collective qui s’appliquera.
En cas d’embauche d’un ou plusieurs commerciaux, n’oubliez pas d’y inscrire une clause de non-concurrence !
L’intervention du notaire est indispensable pour l’entrepreneur individuel qui souhaite rendre insaisissables ses biens immobiliers. Il peut également donner force exécutoire à un bail s’il est posé sous la forme authentique. Ne pas oublier de consulter un expert en propriété industrielle si vous souhaitez sécuriser complément vote dépôt de marque ou votre dépôt de brevet.
Actes juridiques justifiant le recours à un avocat
Une multitude d’autres actes juridiques encore plus courants (ce qui ne signifie pas banals) : signature des contrats de travail, conventions éventuelles avec des fournisseurs, sous-traitants ou clients, etc. nécessitent l'assistance d'un avocat.
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