Combien de fausses idées sont profondément ancrées dans les esprits, et régulièrement entretenues, notamment par les produits marketing de l’industrie agro-alimentaire !
C’est une véritable (ré ?)éducation alimentaire qu’il faut faire aujourd’hui, afin de trier les bonnes des mauvaises pratiques alimentaires. Cela commence par une prise de conscience et quelques chiffres.
80 % des maladies pourraient être évitées si nous étions nourris correctement.
75 % des européens souffrent de carence(s) alimentaire(s) (voire de malnutrition !)
La pomme que nous consommons aujourd’hui contient 100 fois moins de vitamine C que celle que nous consommions en 1950. Les autres fruits et légumes subissent également de fortes dégradations de leurs teneurs en vitamines et nutriments fondamentaux. Par contre, aujourd’hui, cette même pomme subit en moyenne 36 traitements de pesticides avant d’arriver sur l’étalage de notre supermarché !
Au début des années 1970, environ 5 % de la population souffrait d’allergie(s). Aujourd’hui, c’est 30 % de la population qui en souffre. Les maladies auto-immunes progressent dans les mêmes proportions.
Wendell Berry, écrivain, poète et paysan américain, a résumé la problématique actuelle par : « Les gens sont nourris par l’industrie agro-alimentaire qui ne s’intéresse pas à la santé, et soignés par l’industrie pharmaceutique qui ne s’intéresse pas à l’alimentation »
Chacun de nous se doit de réfléchir, se renseigner, écouter, et tester des solutions parfois très simples.
Les grands axes des changements de comportement alimentaires sont à chercher parmi ceux-ci :
De préférence au marché, auprès de petits commerçants qui sélectionnent leurs fournisseurs sur des critères qualitatifs, ou directement chez le producteur, qui saura vous parler de ses méthodes de culture et d’élevage. Dans un supermarché, privilégier les rayons « bio » et d’une manière générale les produits frais plutôt que les produits transformés.
La nourriture vivante, c’est celle qui va pourrir rapidement, car elle contient peu ou pas de conservateurs. La nourriture morte va se conserver plusieurs semaines, mois ou années. Elle est « riche » en conservateurs qui sont des produits chimiques, parfois cancérigènes (soupçonnés ou avérés), parfois perturbateurs endocriniens, parfois les deux. Elle est pauvre en nutriments fondamentaux et en bonnes bactéries qui ont été détruits par les procédés de cuisson et de conservation, justement, pour que les aliments se conservent longtemps.
Les fraises se consomment de Mai à Juillet mais pas en février, tout simplement parce qu’en février, elles viennent de loin, elles ont été cueillies avant maturité pour supporter la durée entre la cueillette et votre assiette sans se gâter, donc elles ne se sont pas chargées en bon nutriments.
Sucre pur, mais également pâtisseries, boissons sucrées (gazeuses ou non), confiseries, glaces industrielles, …. Le sucre, l’industrie alimentaire en ajoute partout ! Et on sait désormais qu’une addiction au sucre est encore plus importante qu’une addiction à la cocaïne !
Omégas 6, contenues dans les huiles de tournesol, les margarines, les produits transformés de l’industrie alimentaire … et surtout l’huile de palme dont cette industrie raffole car elle est très bon marché, mais d’un point de vue nutritif, c’est une catastrophe ! Par contre, les bonnes graisses contenues dans l’huile d’olive, les poissons gras sauvages, les avocats, …, sont très bonnes pour la santé, on peut en consommer quasiment sans modération !
Et privilégier celle de pains complets et pains aux céréales.
Qui ne sont pas « nos amis pour la vie » (ils sont adaptés aux jeunes enfants mais pas aux adultes) et de boissons gazeuses (sodas sucrés ou simples eaux gazeuses) qui acidifient le corps et favorisent le développement de nombreuses maladies (dont les cancers).
Qui sont désormais trop chargées en hormones, OGM, antibiotiques, conservateurs et perturbateurs endocriniens … Et qui provoquent des inflammations (notamment du système cardio-vasculaire et du système digestif).
Les hamburgers, poulets panés, pizzas, kebabs … Toutes ces nourritures pas chères de piètre qualité sont surchargées de mauvaises graisses, de sucres, d’additifs …
Qui sont de purs produits marketings. Chargés en additifs, d’un résultat douteux sur la surcharge pondérale, d’un coût parfois prohibitif, ils sont généralement une authentique aberration d’un point de vue nutritif. De même, les « alicaments » peuvent généralement être qualifiés d’ « alicamenteurs ».
Enfin, face à l’impossibilité d’équilibrer son alimentation compte tenu de la pauvreté grandissante des aliments en nutriments fondamentaux, intégrer dans son alimentation des compléments alimentaires sélectionnés dans la gamme d’une entreprise présentant les meilleures garanties de qualité (par ses fournisseurs, les produits sélectionnés, les méthodes de fabrication, les contrôles qualités de bout en bout) et d’éthique à l’égard de ses consommateurs.
Il ne s’agit pas de devenir un adversaire absolu de la calorie ou de la nourriture transformée. Cela commence par une prise de conscience, cela se poursuit par une modification de comportement et d’habitudes.
Ce changement ne peut pas se faire du jour au lendemain. Appliquer, progressivement, ces quelques principes permettra d’améliorer sa vitalité, probablement aussi sa santé, de réduire des risques pathologiques.
« Que son aliment soit ton premier médicament ! » disait Hippocrate, 400 ans avant notre ère.
Nous vivons dans une société qui déforme les silhouettes par une alimentation inadaptée et par des mythes inaccessibles … Et parallèlement, qui magnifie des corps prétendument idéaux. Ce n’est pas le moindre des paradoxes que le 20ème siècle a légués au 21ème. Cela s’accompagne d’une culpabilisation et de sentiments de mal-être et de malaises.
Un déséquilibre pondéral peut être pathologique et entraîner des conséquences en matière de santé. La pathologie la plus répandue est le surpoids voire l’obésité ; c’est un phénomène de société difficile à prendre en compte tant ses dimensions alimentaires, physiques et émotionnelles sont complexes.
Mais les faits sont là : de nombreuses maladies liées au surpoids ou à une alimentation déséquilibrée sont en progression.
Hypertension, cholestérol, maladies cardio-vasculaires, problèmes intestinaux, diabète, dysfonctionnements hépatiques, ….
Quant aux régimes plus ou moins miracles, rares sont ceux qui fonctionnent durablement sans effet yo-yo.
Pourtant, de plus en plus d’études et d’expériences démontrent que de simples changements dans sa façon de s’alimenter produisent des effets surprenants.
Le paragraphe précédent en donne les principales pistes.
Un accompagnement peut s’avérer nécessaire pour réussir durablement ce changement.
« Activité sportive » ne signifie pas forcément passer des heures à transpirer en salle de sport ou courir un marathon … De simples réflexes et changements d’habitudes peuvent tenir lieu d’activité sportive. Monter les étages à pied plutôt que prendre l’ascenseur, se déplacer à pied ou à vélo plutôt qu’en voiture, marcher 2 à 3 fois par semaine 1/2h00 ou, selon ses goûts et possibilité, aller nager 1 ou 2 fois par semaine… L’essentiel étant de ne pas laisser le corps s’ankyloser dans de mauvaises habitudes génératrices de problèmes de santé.
Une alimentation équilibrée en nutriments fondamentaux, une activité physique régulière et adaptée à ses possibilités, et enfin un bon sommeil (les principes en sont rappelés ici : comment améliorer durablement votre équilibre émotionnel pour gagner en performance ?) amélioreront la vitalité, renforceront le système immunitaire et réduiront certaines pathologies, ce qui permettra (sous contrôle médical !) de réduire sa consommation médicamenteuse.
Compléter l’équilibre physique par un meilleur équilibre émotionnel (lien ci-avant) permet de retrouver un bon équilibre de vie et d’augmenter ses performances professionnelles et personnelles.
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