Parce que notre cerveau, ou plutôt au sens large notre système nerveux, qui gère et contrôle nos émotions, est tout aussi biologique que nos autres organes.
Mais aussi, parce qu’on sait aujourd’hui qu’1/6ème de nos neurones se trouve non pas dans notre cerveau, mais dans notre intestin. Ce qui donne un éclairage nouveau sur le rôle de cet organe mal aimé : pour soigner un dépressif, ou simplement pour améliorer son moral, il suffit parfois de rétablir le bon fonctionnement de son système digestif – aussi incroyable que cela paraisse !
Parce qu’une bonne alimentation, une bonne hygiène de vie, une activité sportive régulière, un bon équilibre pondéral, un bon sommeil amélioreront le fonctionnement de nos organes, réduiront les inflammations, réduiront certaines pathologies et consommations médicamenteuses avec leurs risques d’effets secondaires et d’interactions. Et parce qu’une meilleure santé, une meilleure vitalité se ressentent au niveau de l’équilibre émotionnel.
Cet article donnera quelques éclairages, quelques pistes pour améliorer son équilibre émotionnel, mais il ne peut remplacer la consultation d’un médecin (et en premier lieu du médecin de famille), si cela s’avère nécessaire.
Le lâcher prise , c’est quoi ?
Le lâcher prise, ce n’est pas : ne rien faire. Au contraire, c’est une action volontaire et dynamique.
C’est continuer à agir sans s’inquiéter du résultat, s’occuper de l’avenir sans s’en préoccuper.
Lâcher prise, c’est renoncer à tout contrôler, c’est renoncer à prouver quoi que ce soit, c’est accepter que l’autre est l’autre et que moi-même … je suis qui je suis et non pas qui j’avais rêvé d’être.
Lâcher prise, c’est cesser de faire le procès de la vie qui ne nous donne pas ce que nous en attendions.
A partir du moment où l’on peut lâcher prise, où l’on ne désire plus être heureux à tout prix, on découvre que le bonheur, c’est cette capacité de garder les mains ouvertes plutôt que de les laisser agrippées sur ce que nous croyons nous être indispensable.
Il s’agit ici des lois universelles de la vie auxquelles chaque homme sans exception est soumis.
LOLA est l’abréviation allemande de :
Après avoir « décortiqué » les causes du drame humain (la peur, le péché, le refus de la responsabilité …), René EGLI expose les bases fondamentales de son principe LOL²A puis sa puissance. La clé du bonheur et de la performance ?
C’est un véritable challenge !
Faites une expérience. Coupez-vous pendant quelques jours – 1 à 2 semaines au minimum – de toute source d’information « subie » : les journaux télévisés, la presse quotidienne ou hebdomadaire régionale et nationale, les chaînes radios ou télé d’information continue. Les vacances sont une période idéale pour faire cette coupure, des vacances à l’étranger facilitent les choses. Puis, regardez intégralement un journal de 20h00. Que ressentez-vous après avoir regardé ce journal ?
Si vous avez bien fait cette coupure, vous serez stupéfait de vous rendre compte à quel point les « informations » sont sélectives et anxiogènes, à quel point les bonnes nouvelles sont écartées pour ne laisser l’essentiel qu’aux mauvaises nouvelles.
Pas facile, dans ces conditions, de penser positif !
Mais, vous avez déjà pris conscience de 2 choses :
Reste à mettre votre décision en œuvre… Un travail de chaque jour pendant plusieurs semaines ou plusieurs mois, qui vous fera peut-être découvrir que, le travail, ça peut être très agréable !
GIYF : Google is your friend, ce sera votre premier assistant qui vous mettra en relation avec ce dont vous avez besoin.
Un excellent guide disponible sur le net : http://fr.wikihow.com/penser-positif.
Ecrit par un américain, ce livre envisage la fortune essentiellement sous l’angle financier. Mais la richesse qu’il propose peut également se lire sous l’angle des relations sociales, de la spiritualité, et tout simplement de la joie et du bonheur de vivre. Pensez positivement et vous attirerez à vous toutes les pensées positives, les succès, les bonnes fortunes !
« Un pessimiste voit la difficulté dans chaque opportunité, un optimiste voit l’opportunité dans chaque difficulté »
Winston Churchill
Quand on demande à la génération Y quel est leur but dans la vie, 80 % répondent : Devenir riche, et 50 % : Devenir célèbre. Et pour cela, pour se réaliser, s’accomplir, que leur dit-on ? Qu’il faut travailler dur. Mais, si on étudiait leurs vies, des années et des décennies plus tard, lesquels seraient les plus heureux, lesquels auraient la meilleure santé ?
C’est une très longue étude qui a été menée par l’université américaine d’Harvard, la plus ancienne des universités des Etats-Unis, située à Cambridge (Massachusetts). Une étude qui a commencé en 1938 et qui est toujours en cours. Une étude portant sur un groupe de 724 hommes (oui, que des hommes : elle a commencé en 1938 … mais leurs épouses y ont enfin été associées depuis 10 ans). Ou plutôt 2 groupes d’hommes : un groupe de volontaires parmi les étudiants de 2ème année de Harvard (de 1938), un autre groupe sélectionné parmi des habitants d’un des quartiers les plus pauvres de Boston.
Tous les deux ans, ils ont été interviewés à propos de leur travail, de leur vie de famille, de leur santé. Leur entourage, leurs femmes, leurs enfants ont été interrogés. On leur a fait des prises de sang, on a récupéré leurs dossiers médicaux chez leurs médecins.
60 des hommes de départ sont encore en vie : ils sont nonagénaires et continuent à participer à l’étude. 2.000 de leurs enfants y participent également.
Leurs parcours ont été très variés, certains ont gravi l’échelle sociale, d’autres l’ont descendue. L’un d’eux est devenu Président des Etats-Unis.
Et, tout au long de cette étude, tout au long de ces parcours de vie, quels sont ceux qui sont finalement les plus heureux, et qui ont la meilleure santé ? Ceux qui sont les plus riches ? Les plus célèbres ? Ceux qui ont travaillé le plus durement ?
En réalité, trois grandes leçons sont sorties de cette étude :
Robert Waldinger, le 4ème directeur de cette étude, a présenté ces travaux dans une conférence TED en décembre 2015 : voir la vidéo
Et pour (re)créer ou entretenir du lien social, notamment un réseau social de « 3ème vie », séparé de la vie professionnelle et de la vie familiale, quelques méthodes et savoir-faire ici : voir l'article
Tiens, à propos de lien social : qu’il soit amical ou familial (ou plutôt : amical ET familial), il s’inscrit dans le marbre des secrets de longévité des centenaires et « super-centenaires » (plus de 110 ans de longévité) : voir l'article
Un sommeil de très mauvaise qualité, des journées de grande fatigue représentent un danger pour votre santé, pour votre intégrité physique mais également pour votre entourage en raison des risques d’endormissement, notamment au volant. Une maladie et notamment la maladie de Lyme, des apnées du sommeil, des troubles neurologiques ou psychologiques peuvent en être la cause ou une des causes. Une consultation médicale chez votre médecin de famille ou chez un spécialiste de ce genre de pathologie peut s’avérer indispensable.
Mais en-dehors de ces cadres pathologiques, les causes d’une fatigue chronique peuvent être très variées : une surcharge de travail, un stress permanent, un environnement bruyant, une alimentation inadaptée, la consommation de drogues ou d’excitants tels que le café, le thé, l’alcool ou le tabac, ou tout simplement le non-respect de vos rythmes biologiques. Les écrans peuvent également se révéler de redoutables perturbateurs du sommeil, et même de façon certaine pour des personnes électro sensibles.
Quelle qu’en soient les causes, la fatigue et le sommeil de mauvaise qualité doivent être traités car ils sont générateurs de somnolence et de baisse de la vigilance, de troubles de la mémoire et de l’humeur, de perturbations de la vue, prise de poids, troubles cardiovasculaires, diabète… voire de maladies neurodégénératives comme la maladie d’Alzheimer. Le sommeil, ce n’est pas qu’une question de bien-être !
Alors, en-dehors des cas pathologiques, quelles sont les règles à respecter pour favoriser un bon sommeil ?
Qwesta vous propose de prendre quelques minutes pour évaluer GRATUITEMENT votre équilibre de vie pour mieux vous épanouir dans vos activités : accéder au diagnostic.