Les créateurs ont souvent peur que leur projet soit censuré par la banque. Pour savoir ce que pouvez en attendre, et l’obtenir, faites l’effort de comprendre leurs objectifs et leurs contraintes.

Le 'bien-être au travail' correspond à l'ensemble des facteurs susceptibles d'influer sur la qualité de vie des employés sur le lieu de travail : la sécurité et l'hygiène des locaux, la protection de la santé des salariés, l'impact physique ou psychosocial des tâches effectuées, l'ergonomie de l'espace de travail... Améliorer la qualité de vie au travail a un impact direct sur la motivation des salariés d'une entreprise, et donc sur leur productivité.

Chaque cadre passe en moyenne 10 heures par jour au bureau, ce qui représente approximativement un tiers de son temps. Si on cumule les heures passées à effectuer diverses activités ménagères, et autres contraintes, il ne reste plus beaucoup de temps pour se reposer. Comment peut-on améliorer son bien-être au travail ? Voici quelques conseils importants

Avant même de chercher de l’argent, il faut savoir quel type de financement correspond à vos besoins. Afin de mettre toutes les chances de votre côté, vous avez intérêt à adopter une démarche bien organisée.

Le 11 février 2005, une loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées fixe des objectifs ambitieux en termes d’accessibilité. En effet, elle prévoit que tous les ERP au 1er janvier 2015 devront être accessibles pour les personnes en situation de handicaps.

Difficile de s’y retrouver dans la jungle des aides, qui s’adressent à des projets et des publics divers. Mais une chose est claire : vous devez d’abord rassembler vois propres économies.

Une fois évalués vos besoins, vous devez calculer le montant de fonds propres nécessaires correspondants.

Ils existent plusieurs types d'organismes qui peuvent, à différent niveau, vous aider financièrement à la création ou à l'amorçage de votre entreprise. En voici une liste non-exhaustive.

La bête noire de tous les créateurs, que la plupart ont tendance à oublier, est un décalage entre sorties et rentrées d’argent qu’il convient d’anticiper afin d’éviter des difficultés de trésorerie pouvant aller jusqu’à la cessation de paiement.

L’argent, le nerf de la guerre, en création d’entreprise comme ailleurs, pose souvent problème.

Les documents financiers à prévoir lors de la création sont importants à la fois pour se crédibiliser face à des financeurs potentiels mais aussi et surtout pour encadrer votre prise de risque.

Le recours à un avocat et à un notaire est également conseillé à plusieurs étapes de la vie de l’entreprise.

Une fois que vous avez fait votre choix, comment vous y prendre pour la rédaction proprement dite de vos statuts ?

Pour les professions indépendantes, les premières cotisations sont forfaitaires. Mais prévoyez les régularisations.

Historiquement, de nombreux créateurs ont choisi la forme juridique de la SARL et le statut de gérant minoritaire pour bénéficier des avantages du régime salarié. Mais ce choix se justifie de moins en moins et présente même certains dangers.

Dans les situations où vous avez le choix entre les deux modes d’imposition (l’Impôt sur les Sociétés ou l'Impôt sur les Revenus ), plusieurs critères sont à prendre en compte.

Quel que soit votre choix, prenez vos précautions pour protéger votre patrimoine personnel. Les bénéfices peuvent être imposés en tant que revenu du foyer fiscal ou soumis à l’impôt sur les sociétés.

Si vous êtes dans une situation où l’association se justifie, ne vous trompez pas dans le choix de vos futurs associés.

Une telle décision est à prendre avec discernement, car ses conséquences ne sont pas anodines.

En fonction de l’ampleur de votre projet, de vos compétences personnelles et des moyens financiers dont vous disposez, vous envisagerez peut-être de vous associer.